Notre gamme d’autocuiseur

Qu’est ce qu’un autocuiseur de riz?

Description

La préparation du riz est une tâche délicate, qui demande un chronométrage précis. Une erreur de cuisson peut produire du riz trop dur (pas assez cuit) ou à l’inverse, en le cuisant par absorption (c’est-à-dire en mettant juste la bonne quantité d’eau au départ et en couvrant) il peut attacher au fond de la casserole et prendre un goût brûlé. L’auto-cuiseur à riz évite ces inconvénients en effectuant un contrôle continu et automatique de la température et du temps de cuisson. Il a pour but, non pas de réduire le temps de cuisson du riz, mais de simplifier la tâche du cuisinier et la durée des opérations.

Utilisation

Les autocuiseurs sont souvent livrés avec un gobelet doseur et une spatule (shamoji) pour servir le riz. Pour une cuisson parfaite du riz, il suffit de verser la juste quantité d’eau de riz dans le récipient, à l’aide du verre doseur, et de positionner l’interrupteur sur « cuisson ». L’autocuiseur peut également être utilisé comme un cuiseur-vapeur. On met de l’eau au fond du récipient, puis les aliments coupés et épluchés dans un panier-vapeur (fourni suivant le modèle de l’autocuiseur) placé au niveau supérieur et on laisse cuire. Il existe cependant plusieurs modes de cuisson, suivant les spécialités des Régions du Monde :

  • Dans la cuisine asiatique, le riz est mélangée dans 2 à 3 fois son volume d’eau non salée. Il devient ainsi collant, ce qui est pratique pour le manger avec les baguettes.
  • Dans la cuisine française, le riz se cuit comme les pâtes, c’est-à-dire plongée dans de l’eau bouillante salée et couverte pendant 10 minutes environ.
  • Dans les cuisines du Moyen-Orient et de l’Asie Centrale, on utilise la cuisson « Pilaf » qui consiste à faire revenir un volume de riz dans de la matière grasse (huile d’olive ou beurre) jusqu-à ce que les grains soient translucides. On ajoute ensuite de 1.5 à 2.5 volumes d’eau en fonction du type de riz. Puis on laisse cuire à couvert le riz à feu doux jusqu’à l’absorption totale de l’eau.

Fonctionnement

Un thermostat limite la température à 100°C (sinon l’eau peut bouillir à une température plus élevée si la pression est plus élevée que la pression atmosphérique standard ou, dans une moindre mesure, si elle est salée). En fin de cuisson, le riz a absorbé l’eau dont il avait besoin et l’excès s’évapore. Arrivé à ce point, en l’absence d’eau, la température commence à augmenter rapidement : ce qui est détecté par le thermostat qui coupe la cuisson. Un maintien à 65°C environ garde le riz chaud jusqu’à consommation.